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Le Pays Dogon - MALI

24 avril 2009

BONJOUR ET BIENVENUE SUR MON BLOG CONSACRÉ AU PAYS DOGON

Vous pouvez cliquer sur les images pour les agrandir.

N'hésitez pas à laisser des commentaires, ça fait toujours plaisir.

BON VOYAGE!

Les Dogons sont un peuple du Mali, en Afrique de l'Ouest. Leur population est estimée à 700 000 personnes. Ils occupent la région qui va de la falaise de Bandiagara au sud-ouest de la boucle du Niger. Quelques Dogons sont installés dans le nord du Burkina Faso, d'autres se sont installés en Côte d'Ivoire.
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Les Dogons sont avant tout des cultivateurs (essentiellement du mil) et des forgerons. Ils sont réputés pour leur cosmogonie et leurs sculptures. La langue parlée par les Dogons est le dogon qui regroupe plusieurs dialectes. Il existe aussi une langue secrète, le sigi so, langue réservée à la société des masques. Les Dogons sont liés avec l’ethnie des Bozos par la parenté à plaisanterie. Dogons et Bozos se moquent réciproquement, mais parallèlement se doivent assistance

UN PEU D'HISTOIRE:

Les Dogons seraient venus du Mandé, région située au sud-ouest du Mali au XIVe siècle pour éviter l'islamisation. Ils se seraient installés à Kani Bonzon avant de se disperser sur trois sites que sont la Falaise de Bandiagara (site mis en 2003 sur la liste mondiale du patrimoine de l'UNESCO, le plateau (région de Sangha) et la plaine. Cette falaise était alors habitée par les Tellem, portant aussi le nom de kurumba. D'après les Dogons, les Bana ont précédé les Tellem. Même s'ils ont longtemps subi la domination des divers peuples ayant créé de grands empires ou royaumes, les Dogons ont toujours su conserver leur indépendance à cause de la difficulté d'accès à leurs territoires montagneux isolés. Les Dogons luttèrent farouchement contre les Mossis à l'époque de l'empire sonhrai, puis contre les Peuls à partir du XVIIe siècle. Les Dogons et les Soninkés sont très liés, les Dogons étaient parfois influencés culturellement et linguistiquement par les Soninkés dont certains se sont mélangés aux Dogons lors de leur grande dispersion après la chute de l'empire du Ghana.

Traditionnellement, les hommes dogons sont en général vêtus d'un boubou ou d'une tunique ouverte sur les côtés, et d'un pantalon tissé de trois bandes de chaque côté des cuisses. Les vêtements de couleur marron, ocre, jaune sont préférés. Les Dogons portent le chapeau conique, mais plus souvent encore le bonnet, surtout chez les hommes âgés. Autrefois les hommes portaient les cheveux très longs et frisés. Sur le haut de la tête un cimier était fait avec les cheveux. Quand les cheveux étaient jugés trop courts, on y ajoutait des éléments. Généralement les cheveux sont rasés vers l'âge de 45 ans. Une ceinture de cauris encercle la tête. Des bracelets de cuivre ou d'argent sont portés au bras, ainsi que des bagues au doigt. Les talismans sont très utilisés. On y ajoute des poils de queue d'éléphant pour la force. Les colliers étaient le plus souvent en opaque?

Les femmes dogons portent le pagne et le boubou féminin. Les coiffures sont très riches et variées. Elles sont en forme de casque, avec de longue mèches tressées sur les côtés, un nœud de cheveux sur la nuque et le cimier sur le haut du crâne. À la coiffure sont ajoutés des perles ainsi que des bijoux d'or ou d'argent. Les oreilles sont percées et de nombreuses boucles d'or y sont fixées en forme de cercle. Vers l'âge de trois ans un anneau est fixé à la lèvre inférieure pour le premier stade d'initiation à la parole, puis trois anneaux au nez entre 10 et 12 ans, celui du milieu en cuivre pour attirer les bonnes paroles et les autres en aluminium pour chasser les mauvaises. Les pierres précieuses sont aussi utilisées pour les parures. On n'observe ni scarification ni tatouage.

RELIGION:

Originellement, ils sont animistes. Bien qu’ayant fui pour éviter l’islamisation (les guerriers peuls les appelaient les « Habés » — païens), la majorité des Dogons sont aujourd’hui musulmans même si les pratiques animistes sont encore bien présentes. Une minorité est chrétienne.

Marcel Griaule, ethnologue a étudié les Dogons. En 1946, il a eu des entretiens avec Ogotemmêli[2], un ancien chasseur devenu aveugle suite à un accident et ayant mis à profit l'inactivité due à son handicap pour approfondir ses connaissances traditionnelles. À partir de ces entretiens, il a publié plusieurs livres, dont le célèbre Dieu d'eau sur la cosmogonie dogon.

Les Dogons croient en un dieu unique, Amma. Il créa la terre et en fit son épouse qui lui donna un fils, Yurugu ou le « Renard pâle » (voir video "cosmogonie dogon). C’était un être imparfait qui ne connaissait que la première parole, la langue secrète sigi so. La terre donna ensuite à Amma un couple d'enfant jumeaux appelés Nommo. Ceux-ci étaient à la fois mâle et femelle. Maîtres de la parole, ils l’enseignèrent aux huit premiers ancêtres des hommes, quatre couples de jumeaux, nés d'un couple façonné dans l'argile par Amma.

LA LEGENDE DE SYRIUS

Légendes astronomiques au pays dogon
Connaitre l’existence de certaines étoiles ou autres corps célestes invisibles à l’œil, le tout sans télescope. Impossible n’est pas dogon. Suspectés d’avoir découvert la naine blanche Sirius B, les Dogons du Mali possèdent leur propres légendes astronomiques.

Sirius : l'étoile la plus brillante du ciel. Pour l'observer dans l'hémisphère Nord, nul besoin de télescope, elle est visible à l'œil nu. En revanche, Sirius B, une naine blanche affiliée à Sirius, elle, n'est pas visible sans télescope. Pourtant, selon les légendes des dogons, depuis le XIVe siècle, Sirius B est au centre de leur cosmogonie. Comment la connaissent-ils ?


La constellation du Grand Chien est une des plus vieilles constellations avec Sirius, l'étoile la plus brillante.
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On trouve, dans la constellation du Grand Chien, l'étoile la plus brillante du ciel : Sirius. Proche de notre système solaire on peut l'observer assez souvent sans être équipé d'instruments. Mais Sirius est une étoile double, formée d'une étoile blanche, Sirius A, et des restes d'une étoile éteinte : une naine blanche, Sirius B. Cette dernière met 50 ans pour faire le tour de Sirius A. Son existence est soupçonnée dès 1844, mais c'est en 1862 qu'elle est pour la première fois observée et identifiée par Alvan Clark. Ce n'est qu'en 1970 que Sirius B est photographiée. Le constat est clair : il faut être plutôt averti pour avoir connaissance de cette naine blanche et disposer d'un matériel spécifique pour l'observer. Pourtant, à la surprise des ethnologues et des scientifiques, un peuple dit de la tradition, les Dogons du Mali, semble l'avoir repéré bien avant tout le monde.

Ce mystère est alors révélé par des ethnologues français venus étudiés les Dogons dès 1931. Au bout de quelques années, Les deux observateurs, Griaule et Dieterlen, gagnent la confiance des Dogons, qui leur dévoilent alors leurs légendes et visions du monde physique.
Sirius A et B photographiée par le télescope Hubble.

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Les Dogons et l'espace

Les Dogons ont connaissance de l'existence de la naine blanche Sirius B, et ce depuis longtemps, selon leurs légendes. Placée à la place du Soleil, elle a une certaine importance pour eux, elle rythme certaines de leurs cérémonies. Baptisée "po", le terme dogon pour Digitaria, elle fait écho à la plus minuscule des graines. Tous les 60 ans, ils organisent une cérémonie pour fêter le tour complet réalisé par Sirius B autour de Sirius A. Comment peuvent-ils être au courant de cela ? Le mystère est né et va passionner ethnologues, astronomes et curieux en tous genres. Précisons aussi que les connaissances des Dogons ne semblent pas se limiter à cela. Ils reconnaissent à Jupiter 4 satellites principaux, savent que Saturne a des anneaux, que la Terre tourne autour du Soleil etc.

Quelles explications possibles ?
Visites extraterrestres ?

(si cette dernière thèse vous interresse, rendez-vous sur ce site:http://www.astrosurf.com/luxorion/dogons-astronomie.htm qui à mon avis est assez objectif et très bien renseigné)

On trouve différentes explications à ce mystère. Déjà, dans les légendes Dogons elles-mêmes. Les Nommos, habitants de Sirius seraient venus en pays dogon et c'est bien entendu à ce moment là qu'ils leur auraient transmis leurs connaissances au sujet de Sirius A-B-C (la présence de Sirius C n'étant de nos jours toujours pas prouvée) et aussi de notre propre système solaire. D'où les cérémonies tous les 60 ans… Bien entendu, ce ne sont que des légendes… Mais cela ne nous avance pas vraiment, du moins pas avec une explication scientifiquement prouvable. Et la tradition orale a toujours été une source incertaine.

Le contact avec d'autres populations qui elles ont accès au télescope et à l'information scientifiques. Auquel cas, les Dogons auraient réinventé leurs traditions et leurs légendes : un fait somme toute assez courant, mais une fois de plus incertain.

Dernière possibilité, il s'agit ni plus ni moins d'un très étrange concours de circonstances. Avec des erreurs qui éveillent la curiosité. Si les Dogons connaissent réellement Sirius B et le fait qu'elle fasse le tour de Sirius A en 50 ans, pourquoi s'obstinent-ils à fêter le dit cycle tous les 60 ans ? Une erreur de 10 ans n'est tout de même pas insignifiante.

Quoiqu'il en soit, la connaissance semble circuler bien plus rapidement que les hommes et la légende reste un peu ouverte aux esprits les plus imaginatifs.

CULTURE

La shônan communement appelé "togouna" (ou case à palabres), est une construction présente dans chaque village, sous laquelle les hommes du village, et plus particulièrement les anciens, se réunissent pour parler des affaires du village. Sa taille basse oblige les hommes à s’asseoir et interdit l’emportement (en se levant brusquement, on se cogne le crâne). Elle est constituée de huit piliers en bois sur lesquels reposent jusqu'à huit couches de chaume. Le nombre 8 fait référence au nombre des premiers ancêtres dogons. Des symboles dogons sont sculptés sur les piliers.

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TOGOUNA


      Leur rite funéraire est particulier puisqu' il se déroule en trois temps:

  • Lors du décès, un enterrement est organisé. Le corps du défunt est
    lavé avant d'être déposé à l'air libre dans les failles des falaises
    qui servent de cimetière. Son âme reste dans le village.
  • Quelques mois plus tard, sont organisées des funérailles qui
    permettent à la famille et aux proches de rendre un hommage au défunt.
    Son âme quitte alors la maison familiale mais continue d’errer dans les
    alentours.
  • Le troisième temps est le Dama . Cette cérémonie est collective et concerne toutes les personnes décédées au cours des années précédentes (le dama
    est organisé tous les 3 à 5 ans). Les âmes sont appelées à rejoindre
    les ancêtres. Au cours de la cérémonie qui dure trois jours, les
    différents masques 
    sont sortis et défilent et dansent dans le village. Cette cérémonie marque la fin du deuil.

Les cérémonies du Segui ont lieu, chez les Dogons, tous les soixante ans. Elles se déroulent sur sept ans. Les prochaines auront lieu en2027).
Il s’agit d’un important rituel de régénération. Elles commémorent la
révélation de la parole orale aux hommes, ainsi que la mort et les
funérailles du premier ancêtre.

 

La « société des masques » appelée Awa dirige les danses
masquées organisées lors des différentes cérémonies. La société
comprend tous les hommes. Les garçons y entrent après la circoncision. Les femmes ne sont pas admises dans cette société, sauf celles nées l'année du sigui.

 

Le hogon est le chef religieux du village dogon. Il est le prêtre du culte du lébé (Lébé Seru est le premier ancêtre Dogon qui, enterré au pays du Mandé, ressuscita sous forme de serpent). C'est le plus vieil homme du village qui devient hogon.
Certains interdits lui sont prescrits. Il n’a plus le droit d’avoir un
contact physique avec personne, il ne doit plus sortir de sa maison...

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LE HOGON DE SANGA

La société dogon est patrilinéaire,
mais la famille maternelle l'emporte sur les enfants. En effet, tout
Dogon de retour au pays doit obligatoirement passer dans sa famille
maternelle avant de rendre visite à ses parents paternels. Les
descendants d’un ancêtre commun font partie d’une ginna qui regroupe tous les adultes hommes, leurs femmes et leurs enfants. La ginna inclut également les maisons de famille et les champs leur appartenant. Le chef, le ginna bana, est l’homme le plus âgé.

 

Il n'y a pas de castes chez les Dogons, la société est égalitaire. Les forgerons sont endogames.

Les hossobéhossobé
tous ceux qui ont trahi le clan auquel ils appartiennent. Les jeunes
gens se retrouvent dans les classes d'âge, chaque classe construisant
sa maison décorée avec les symboles de son groupe. C'est là qu'ils se
retrouvent, le plus souvent la nuit, pour pratiquer leurs rites, les
festivités.
sont les bannis, les impurs.

ARCHITECTURE

'architecture dogon est spécifique. La plupart des villages sont
implantés dans la falaise, et accessibles uniquement par des chemins
escarpés qui empruntent les failles du plateau.

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La case traditionnelle est organisée autour d'une cour, chaque femme
ayant son grenier auquel le mari n'a pas accès. Le grenier du mari sert
à conserver le mil,
le grenier des femmes sert, lui, à conserver les condiments et
différents objets. Les greniers sont clairement identifiables par leur
toiture en seko (paille), celui du mari étant en général, le plus
important.


Il existe différentes sortes de greniers (appelés gôh) d'architecture spécifique, et ayant une attribution et une symbolique particulière :


  • le gôh Karï, divisé en trois parties, est obligatoirement la propriété d'un homme.
  • le gôh nân, plus grand, qui peut appartenir à un homme ou une
    femme, est construit sur deux étages, et divisé en quatre compartiments
    par étage. Il sert à la conservation des céréales (mil, sorgho, fonio). Il sert aussi de coffre fort et renferme alors des objets précieux.
  • le gôh Anan qui est le plus grand et fait d'un seul bloc, est sous
    la responsabilité du chef de lignage. Il renferme les récoltes des
    champs collectifs (Anan signifiant village). Il est descellé uniquement lors de sécheresses, ou pour la cérémonie du Dama.
  • le gôh Pôron, un grenier castré, est sous la responsabilité du chef de lignage. Il présente un petit muret central.

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GRENIER

La table du renard  

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La "Table" sert d'instrument de divination . La personne qui a des problèmes, va trouver le "devin"
pour qu'il lui prédise l'avenir ou lui donne quelques conseils. A
l'écart du village en fin d'après-midi, le devin, suite aux
explications du client, trace un grand rectangle divisé en plusieurs
cases, dont chacune reçoit différents signes et petits bâtons plantés
dans le sol. Ensuite le devin demande au client de lancer sur cette
"table" une poignée de cacahuettes, puis tous deux quittent les lieux
jusqu'au lendemain matin. Pendant la nuit un renard (ou chacal),
vient manger les cacahuettes en piétinant la "table". Le matin, le
devin revient avec son client, et interprète les traces laissées par le
renard, et en fonction de celles-ci et des bâtons renversés lui prédit
l'avenir.

Les Tellem

Les Tellem (« ceux qui étaient avant nous », selon l'expression des Dogons) sont un peuple qui vivait au Mali, dans la falaise de Bandiagara.
Dans les alvéoles rocheuses de cette falaise rouge, des constructions
en glaise abritent des ossements des Tellem ainsi que des vestiges
témoins de leur civilisation, bien antérieure à celle des Dogons. L'arrivée des Tellem remonte au XIe siècle.
Les fouilles archéologiques ont permis de retrouver de nombreux
ossements mais aussi des objets comme des tissus, de la vannerie, des
perles, des poteries… Ils vivaient en  troglodytes,
leurs maisons construites dans la falaise. De petite taille, ils
ressemblaient aux pygmées. Ils vivaient de la pêche, de la cueillette,
de l'agriculture à la houe, de l'élevage et de la chasse à l'arc.


Dans les nécropoles ,
ils plaçaient les offrandes aux côtés des défunts, tantôt dans leurs
vêtements (les femmes portaient un cache-sexe de fibres tressées )
ou parfois enveloppées dans des couvertures. Les squelettes gisant
épars, de toute évidence les dépouilles furent progressivement
déplacées afin de ménager de l'espace pour de nouvelles inhumations.
Afin de pouvoir établir l'identité biologique de la population tellem,
ces squelettes ont été examinés. Ils appartiennent tous à un seul
groupe, à caractères anthropométriques reconnaisables, dont la
composition génétique n'a pas beaucoup changé pendant les 5 siècles de
son existence.


Au XIVe siècle, les Dogons, venant du pays Mandé   et qui fuient l'islamisation, arrivent dans les falaises. Les Tellem fuient à leur tour pour se réfugier vers le sud, au Burkina Faso. Les sécheresses, les famines et les maladies entraîneront leur disparition.


Les anciennes maisons des Tellem, sises en hauteur le long de la
falaise, serviront de cimetière pour les Dogons qui hissent les corps
de leurs morts à l’aide de cordes.

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ANCIENNES MAISONS TELLEM A BANDIAGARA

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FALAISE DE SONGA

Les dogons sont aussi célèbres pour les portes de leur grenier

Sur celles ci se trouve l'histoire la famille. La femme y est représentée ainsi que le mari, les enfants, leur activités principales, leur ancêtres et une anecdote si il y en a une importante:

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Si vous voulez en voir plus, cliquez ici

Liste des principaux villages Dogon:

Songo:

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Teli:

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Endé

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Djiguibombo:

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Yabatalou:

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Indelou

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Konsogou

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Dourou

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Nombori


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Idyeli

Vue 3D à l'intérieur d'un habitat typique

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Komo Kani

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Tireli

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Amani

Vue 3D à l'intérieur d'un habitat typique

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Sangha

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Arou

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Koundou

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YougaPiri

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Yendouma

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Tiogou

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Damasongo

Yenda

Bamba

Kendie

Borko

Tintam

Bankass

Bandiagara

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ou

cliquez ici

DES VISITES VIRTUELLES EN 3D DU PAYS DOGON:

vue 1  vue 2  vue3

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24 avril 2009

VIDEOS SUR LE PAYS DOGON

COSMOGONIE DOGON


NAISSANCE DE L'UNIVERS







src="http://www.youtube.com/v/yhTf9kAkVJ8&hl=fr&fs=1"> Le documentaire qui suit est divisé en plusieures partie sur "Youtube"
Le titre est "Sur les traces du Renard Pâle"
Réalisé par Mr Luc De Heusch
en 1983
Il a rassemblé des documents allant de 1931 à 1983

Prenez 48mn, c'est vraiment à voir





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